Quand je roule àVélo
Grâce au service de vélopartage à assistance électrique àVélo, notre collaborateur, ce fier résident de Québec, s’est converti pour de bon à la mobilité active. Du moins, six mois par année. Retour sur expérience.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Meta bloque nos contenus sur Facebook et Instagram, et Google suivra bientôt le pas. Abonnez-vous à notre infolettre pour découvrir des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement.
Grâce au service de vélopartage à assistance électrique àVélo, notre collaborateur, ce fier résident de Québec, s’est converti pour de bon à la mobilité active. Du moins, six mois par année. Retour sur expérience.
Située au nord-ouest de l’Espagne, la ville de Pontevedra, 83 000 habitants, a relevé et réussi un défi audacieux : réduire drastiquement la circulation automobile pour restituer son centre-ville aux piétons. Un modèle transposable au Québec?
Le vélo en libre-service n’est plus seulement l’apanage des grandes villes au Québec. Des systèmes font petit à petit leur apparition en région.
Mode de transport qui n’émet aucune émission polluante et alternative à l'auto-solo, le vélo contribue à réduire les émissions de GES. Si, en plus de simplement pédaler, vous pouvez transporter de lourdes charges sur une remorque accrochée à votre bicyclette - votre épicerie, du matériel de rénovation ou même votre déménagement - c'est le jackpot climatique !
Vous vous déplacez à vélo et voulez sortir de la ville ? Bonne nouvelle pour les cyclistes de Montréal et des banlieues, il existe 1 001 manières de combiner les moyens de transport pour arriver à destination. Avec le bus, le train et même la navette fluviale, voilà un « cocktail transport » pas mal grisant.
Ça y est, vous avez décidé de prendre des « GES » de bonnes résolutions et de tenter l’aventure du vélo d’hiver. Avec l’aide du proprio de la boutique Recycle Cycle, située à Montréal, on vous a préparé un guide d’achat d’accessoires adapté à votre profil.
Le vélo d’hiver gagne en popularité, presque autant qu’Arnaud Soly ou les repas pour emporter. Comme bonne résolution, on passe à l’action pour améliorer notre bilan carbone en roulant à deux roues plutôt qu’à quatre. Mais sans négliger notre sécurité et notre fun.
Les transports, c’est l’enjeu numéro 1 au Québec en matière de lutte contre les changements climatiques. Avec 36,1 millions de tonnes d’équivalent CO2, soit 44,8 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) de la province, c’est le secteur qui produisait le plus de GES en 2018. À titre comparatif, les émissions canadiennes du secteur des transports représentaient 30 % des émissions totales de GES au pays. Pour inverser cette tendance, le gouvernement du Québec mise sur l’électrification. Mais face à l’urgence d’agir pour préserver le climat, l’heure est aussi venue de repenser nos transports.
Malgré une montée en popularité du transport actif en hiver au Québec, la province est à la traîne en comparaison des pays scandinaves. Quelles sont les perceptions des Québécois par rapport à leurs déplacements durant la saison froide ? Portrait de la situation.
Même si le nombre de jeunes qui possèdent un permis de conduire est en baisse au Québec, l’Académie des Estacades, à Trois-Rivières, a décidé l’année dernière d’encourager ses élèves à retarder l’achat d’une première voiture. Et l’établissement secondaire compte récidiver cette année.